Ce qui vient en premier en tête après avoir entendu le terme doit du travail c’est toujours un droit qui protège de certains abus qui se rencontrent au sein des entreprises où un salarier travaille. Mais ce droit se définit comme un droit à parts égales qui protège à la fois l’employé et l’employeur. Le droit de travail reste avant tout un droit parmi d’autres qui interagit à la protection des travailleurs comme les femmes enceintes, et les hommes ayant déjà subi au paravent un accident de travail. Mais également, les loyautés des travailleurs envers son patron dans l’exécution du contrat.
Généralité
Ce droit indépendant a en principe pour but de trouver des conclusions équitables entre l’employeur et l’employer lors d’un malentendu en référence avec le contrat de travail. Son objectif étant de rétablir voire corriger les inégalités dans les relations de travail, surtout pour ceux qui demeurent vulnérables tel que les handicapés et les mandatés par l’entreprise. Le droit du travail rend stables les relations individuelles entre le salarié et l’employeur autant dans l’exécution du contrat que dans sa rupture. Il reste également contradictoire dans l’autorité de l’employeur d’entreprendre le pouvoir de sanction et de licenciement. Ce droit à part entier comble les autres branches dans les lacunes des droits du travail où les employeurs et employées demeurent considérés.
Les principaux concernés
Ce droit s’applique surtout envers les travailleurs dans le secteur privé. Il doit une obligation de loyauté collective et d’adaptation envers leur employeur. Les syndicats jouent un rôle primaire pour défendre certains abus. Effectivement, les membres du patronat tentent d’acquérir celui qui a été dû de manière abusive. L’état n’emploie pas que des titulaires, mais aussi des vacataires et des contre-factuels qui subissent également le même cas que les salariés dans les secteurs privés tels que les distinctions, quel que soit leur emploi.
